Voici que le choléra est réapparu en Algérie, pour cause de saleté et de désorganisation générale.
Souhaitons qu’elle ne nous soit pas exportée.
Le cœur de l’affaire est à BOUFARIK.
En est-on revenu à l’époque des premiers colons qui ont défriché et assaini la région il y a plus de 150 ans ? Et donc l’œuvre est désormais anéantie.
Je pense à la grand-mère maternelle de ma mère, Jeanne BOYER, cantinière, justement à BOUFARIK, originaire de Boulogne sur Gesse, épouse d’un Irénée BéGUé, premier sapeur du génie, médaille militaire, originaire lui de Gimont.
Elle avait eu le choléra, s’en était sortie, et était décédée à près de 80 ans.
Mais c’était au temps de l’Algérie française.
Mots-clés:
Ajouter un commentaire