Or, ce que nous proposons c'est techniquement l'équivalent du libre système parisien et en plus moderne. Avec des partenaires sans doute de meilleure qualité comme CISCO.
La chancellerie a dit oui à PARIS et dit non à MARSEILLE.
Si la Haute autorité contre les discriminations et les exclusions(HALDE) n'était pas un repère de tiers-mondistes contre les Français, en piquant le fric des contribuables dans des dépenses exagérées de son ancien président que condamne la Cour des comptes, présidée pourtant par un ancien élu socialiste, on pourrait même la saisir. Je crois savoir que mon ordre y a pensé. C'est dire.
J'ai vainement essayé quant à moi dans une affaire strictement personnelle, dont je vous parlerai plus en détail prochainement, la CAISSE D'EPARGNE DES BOUCHES DU RHONE dirigée par quelque cacique parisien, refusant, sur ordres bien-pensants, de me vendre un immeuble, qu'elle m'avait cependant proposé à la vente,
Alors que je lui payais le prix exigé immédiatement et cash.
En fait soit parce que je m'appelle KUCHUKIAN -et que ça déplait, c'est quoi cet Arménien qui veut être plus Français que les autres- soit parce que les syndicalistes de la direction préfèrent leurs petits copains du parti, ou les deux mon capitaine, le tout sous la bénédiction de certains juges (l'affaire n'est pas terminée) : j'ai tout compris de la HALDE qui a classé ma plainte.
Peut etre que si je m'étais appelé MOHAMED, on se serait intéressé à moi... Vivement qu'on la supprime la HALDE, qui défend certaines minorités et pas d'autres . C'est prévu je crois.
Revenons à NAVISTA.
Pendant ce temps là, on apprend par un important blogueur qu'il traine sur les ordinateurs des confrères parisiens une tentative primaire d'escroquerie très grossière qui met, bien à tort, en cause le greffe du Tribunal de grande instance de la PARIS. Et le commentateur d'inviter à la vigilance parce que le greffe ne connait que nos adresses « e-barreau ».
Oui, confrère parisien, le greffe connait celles des Parisiens, seuls en libre accès pour « e-barreau », pas celles des Marseillais, dont la libre connexion est toujours fermée.
Nous autres, nous ne risquons rien, puisqu'on a du apprendre à être intelligent. Mais c'est très mal vu.
Seuls les vieux comme moi se souviennent de cette chanson populaire, genre Edith PIAF des années 60, justement de Maurice VIDALIN, son parolier : « TAIS-TOI MARSEILLE », chantée entre autres par BARBARA et Colette RENARD. Que des vieilleries.
Je suppose même qu'elle a été chantée comme berceuse aux décisionnaires d'aujourd'hui, contre qui nous nous battons.
Le problème est qu'elle a malheureusement laissé des traces indélébiles dans leurs esprits à l'age adulte. Elle commence par: « un jour, les voyous de Marseille ».
J'arrête là. Voici la suite.
Un jour les voyous de Marseille
M'ont fait goûter à leur bouteille
Au fond d'un bistrot mal famé
Où j'attendais de m'embarquer
Ils m'ont raconté leurs voyages
Et de bastringue en bastingage
Ils m'ont saoulé de tant de bruit
Que je ne suis jamais parti
[REFRAIN]
Marseille, Tais-toi Marseille
Tu cries trop fort
Je n'entends pas claquer
Ses voiles dans le port
Je vais lire devant les agences
Les noms des bateaux en partance
C'est fou, je connais leurs chemins
Mieux que les lignes de ma main
Adieu les amours en gondole
Les nuits de Chine, les acropoles
La terre de France à mes souliers
C'est comme des fers bien verrouillés
[REFRAIN]
Je vends mon histoire aux touristes
On fait des sous quand on est triste...
Les escudos et les dollars
Rien de meilleur pour le cafard
Pourtant j'ai toujours dans ma poche
Un vieux billet qui s'effiloche
C'est tout mon rêve abandonné...
Je n'ose pas le déchirer.
[REFRAIN]