Fous, parce qu’ils refusent de reconnaitre qu’ils se sont tous trompés et qu’ils se trompent encore.
Fous, parce qu’ils sont aveuglés par leurs préjugés doctrinaires.
Fous, parce qu’ils croient qu’on arrête une guerre et j’espère qu’elle ne se terminera pas en guerre civile, avec des mots, des défilés, des étiquettes, et même pour certains qui parlent des enfants qu’ils n’ont pas l’audition malsaine des enfants et des adolescents.
Ces choses sont sérieuses, et l’aveuglement dans notre pays depuis des décennies est seul responsable de la situation actuelle.
Pire, ça s’aggravera encore, partis comme on est.
Je revois les films de propagande communiste à l’époque des obsèques de Joseph STALINE : ce qui nous attend dans les jours à venir est exactement du même ordre.
Une dernière question, sur le thème de la liberté.
MINUTE aussi est un journal satirique, comme CHARLIE. Evidemment d’un autre bord.
Mais c’est bien cela la liberté. Et qu’on ne me dise pas que des journalistes de MINUTE ont été condamnés pour leurs abus jugés tels. CHARLIE pareil.
Imaginons un instant qu’un tel abominable massacre ait eu lieu dans les locaux de MINUTE.
Croyez-vous qu’un tel délire aurait été organisé ? Surement pas.
J’écris tranquillement ce billet, en sachant même qu’un actionnaire de CHARLIE qui était sur place a été assassiné.
Imaginons une minute, justement, qu’un des associés de la structure propriétaire du titre ait été sur place dans les locaux de MINUTE si une telle abomination avait eu lieu, et que celui-ci se soit appelé KUCHUKIAN.
N’imaginez rien, le silence aurait été total et même réprobateur.
La liberté d’expression, c’est pour certains et pas d’autres.
Et notre belle profession n’échappe surtout pas à la règle.