Le vol BARCELONE – DUSSELDORF devait obligatoirement survoler la France du sud.
Quel qu’ait été son plan de vol, il passait OBLIGATOIREMENT sur une zone de dangers extrêmes composée des départements des B.D.R., de Vaucluse, du Gard, de la Drome, sinon, plus à l’est du Var et des Alpes de Haute Provence.
En touchant la cote méditerranéenne, il y avait au moins trois points de contact.
Plus à l’ouest, le survol du Gard, avec celui de la centrale nucléaire de Marcoule, puis juste au-dessus, les centrales nucléaires du Tricastin. Avec à coté la base aérienne d’Orange, et ses appareils armés en nucléaire.
Au centre, plus à l’est, il passait au-dessus d’Istres, base aérienne du plus haut niveau, à 40 km de Marseille, ou encore Marseille sur sa route, et au nord l’usine nucléaire de Cadarache.
A l’est, par quoi il est passé, il a survolé Toulon, avec sa base de sous-marins nucléaires.
Aller d’un point à un autre en avion à cette vitesse, j’entends d’un point sensible à un autre, c’est moins de dix minutes de vol…
On aimerait quelques commentaires rassurants, mais c’est vrai ce soir, le président de la République prépare son voyage demain à Tunis. Histoire de grappiller quelques voix dans les banlieues. Demain. Très inquiétant.