Quand l’art. 2 de la constitution de 1958, « Liberté, Egalité, Fraternité », n’est plus dans le coup.
Lisez Eric ZEMMOUR, page 44 d’un quinquennat pour rien.
« « La civilisation arabo –musulmane, à l’instar de notre culture féodale de jadis, exalte et idéalise la force, preuve de virilité, comme l’illustrent de nombreux proverbes arabes qui expriment l’inconscient culturel de cette civilisation : « Baise la main que tu ne peux pas couper ». Ou : « Celui à qui l’envie de tuer n’est jamais venue n’est pas un homme ».
Nos professions de foi pacifistes sont regardées comme autant de preuves supplémentaires de nos valeurs – liberté, égalité, fraternité- n’est qu’une preuve supplémentaire de notre état de déréliction. Quand le président de la République limite de lui-même sa détermination par le respect emphatique de nos valeurs – « Nous devons éviter surenchères et dérives. La République, nous voulons […] lui permettre d’éradiquer, dans le respect de nos valeurs, le terrorisme […] parce que nous sommes attachés à la liberté et au rayonnement de la France dans le monde »-on comprend d’instant que tout n’est que rodomontades : « Le terrorisme ne détruira pas la République car c’est la République qui le détruira » ; et que sa main tremblera, que les instruments les plus redoutables et efficaces en théorie, comme ce fameux état d’urgence qui date de la guerre d’Algérie, seront gâchés par une main toujours trop molle. » »
On en revient quelque part au parallèle à faire obligatoirement entre le national-socialisme et l’islam, du coup à l’inadéquation correspondante à la formule constitutionnelle.
Ce qui donne au passage la relaxe de Madame LE PEN devant le Tribunal correctionnel de Lyon lorsqu’elle a comparé les occupations de la rue pour les prières hors mosquées avec les grandes manifestations à la Nuremberg du temps jadis.