Si d’aucuns attrapent des coups de soleil, d’autres les mouches en bâillant, moi j’ai attrapé la cyclothymie du jugement en plaidant.
Elle se décline en cyclothymie de l’arrêt mais celle-ci se manifeste à un stade plus ou moins concentré de l’émotivité selon que l’on a plus ou moins bien réagi à la cyclothymie du jugement.
La suite sur le blog de Carole GHIBAUDO
Commentaires
Bravo et merci !
Quel talent ! Les mots anciens et savants sont, sous votre plume, d’une délicieuse fraîcheur.
J’adore le « cavilleux contemptible », pas lui mais les mots qui le désignent.
Et votre blog, plein d’esprit, de poésie, de beauté et de droit, mérite qu’on s’y arrête.
Merci beaucoup !!!
Merci beaucoup !!!
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