http://dl.avocatparis.org/com/Bulletin/2013/deontologie_numerique.pdf
Fin de la dématérialisation des Cabinets : Aucun confrère n'est en mesure de se dire conforme à ce pensum pavé de bonnes intentions....comme l'Enfer.
Ah, au fait... (CNIL délibération n°2013-270 du 19 septembre 2013 -communiqué CNIL du 25 novembre 2013) lire la recommandation de la CNIL sur les coffre-Fort électroniques...*
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Commentaires
MERCI D'AVOIR MIS EN LIGNE
J'avais bien repéré le document, mais je n'ai pas pu l'ouvrir sur le site du barreau de Paris.
Première observation, c'est un peu scolaire.
Deuxième observation, il y a des données techniques à voir notamment avec Jacques.
Troisième observation, le document est déjà dépassé par parties en l'état de l'arret du Conseil d'Etat du 13 décembre.
Quatrième observation, j'ai lu qu'il y a aussi l'Arménien de service. Je le salue fraternellement.
A suivre, bien sur.
RE: MERCI D'AVOIR MIS EN LIGNE
*Sachant que bon nombre (10% ?) des confrères ont une adresse g-mail, parce que c'est gratuit, que la plupart des Cabinets qui n'utilisent pas une installation dépassée n'ont plus de serveur mais sont reliés à un data-center, sachant que nos clients ont des connections avec des opérateurs soumis au Patriot Act ou aux procédures de Discovery, comment respecter ce nouveau code ? La norme est la sauvegarde de la confidentialité totale et la sécurité. Mais qui contrôle la "toile" ? Comment s'assurer que les "clouds"que nous utilisons apparemment conformes le lundi le seront le mardis ? Une fois transmises sur le Net les données circulent , comment les sécuriser ? Sachant que les petits clients sont perméables et que les gros exigent que nous utilisions leurs propres normes, comment imposer nos contraintes déontologiques 2.0 ? Daniel LANDRY dans un courageux article publié le 5 octobre 2013 dans la Gazette du Palais, page 10 a posé la question " Que reste-t-il des principes essentiels de la profession d'avocat ?" A peine "l'encre séchée" de notre code de déontologie numérique nous pouvons nous poser la question de savoir comment le mettre en oeuvre au quotidien ? Est-ce le grand retour du papier, faute de pouvoir faire mieux en matière de sécurité ? Nous avons là en perspective un énorme travail à faire et une démarche à accomplir qui dépasse sans doute les capacités de la plupart des Cabinets au moment où je tape ces lignes. L'enjeu ne dépasse-t-il pas les moyens de la profession ?
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